Refaire ses seins pour lutter contre un complexe

Refaire ses seins pour lutter contre un complexe

Des seins trop petits, trop lourds, trop gros, les femmes optent aujourd’hui pour la chirurgie esthétique des seins afin de se sentir mieux dans leur corps. De nombreuses femmes se font refaire la poitrine dans l’espoir de réparer une partie de leur identité féminine. L’augmentation mammaire reste l’intervention la plus pratiquée. Il est donc possible de choisir une intervention de chirurgie mammaire pour refaire ses seins.

Une nouvelle silhouette

Symbole de la féminité, de la sensualité, les seins sont une partie importante du corps de la femme. Si on n’accepte pas ses seins, on peut très vite se couper de la vie sociale et intime. La sécurité sociale rembourse certaines interventions reconstructrices. Cette opération peut augmenter le volume des seins, mais aussi le réduire, modifier la forme de façon à harmoniser le buste par rapport à la silhouette. Aujourd’hui, l’augmentation mammaire donne de très bons résultats très naturels grâce à des techniques toujours plus précises, sécurisées, au développement des implants, des traitements. En France, c’est l’opération la plus sollicitée avec la liposuccion.

Des raisons diverses et multiples

Se faire refaire les seins n’est pas une intervention anodine. Les raisons qui poussent les femmes à l’envisager sont nombreuses, reconstruction après une grossesse, une importante perte de poids, un cancer, un complexe. Pour se sentir plus belle, plus désirable, mieux en phase avec son corps, avoir davantage confiance en soi, la femme opte pour la chirurgie mammaire. C’est aussi un moyen de dire non aux complexes qui gâchent la vie. La première reste la solution la plus fiable et la plus courante. Le plus important avant d’envisager une intervention est de bien choisir le chirurgien. Un complexe peut être un vrai handicap. La poitrine étant une partie du corps qui représente la féminité, envisagez une opération des seins peut être une vraie opportunité pour se sentir plus belle.