Le phénomène de perte de cheveux apparaît chez les hommes comme chez les femmes. Il arrive toutefois bien plus souvent chez ceux-là que chez ces dernières. Pour l’un comme pour l’autre des deux sexes, perdre ses cheveux peut être un moment douloureux, voire traumatisant. En général, les femmes sont, évidemment, moins bien préparées à la perte de leur chevelure que les hommes. Pour les aider à mieux comprendre le phénomène et à l’accepter, nous vous proposons de comprendre les origines de l’alopécie et de découvrir un des traitements possibles.
1. Qu’est-ce que l’alopécie ?
L’alopécie désigne le phénomène de dégarnissement capillaire auxquels sont soumis de très nombreux hommes, et certaines femmes. Le phénomène se passe exactement de la même façon chez tous les hommes. On observe d’abord une perte de cheveux au niveau des golfes frontaux. Vient ensuite la disparition des cheveux se trouvant dans le haut du front, puis la dernière étape, celle du dégarnissement sur le sommet de la tête.
L’âge auquel l’alopécie survient dépend d’un individu à l’autre. Certains jeunes hommes commencent à perdre leurs cheveux dès leurs 20 ans. Cela est dû au rythme de vie des cheveux : ils ne sont prévus que pour un nombre limité de repousse. Lorsque ce cycle touche à son terme, les cheveux cessent de pousser.
2. Comment lutter contre l’alopécie ?
Hommes et femmes peuvent recourir à la greffe de cheveux si l’alopécie entraîne une perte de confiance en soi, qu’ils se préfèrent avec une chevelure plus dense, etc. Le praticien déterminera le nombre d’implants nécessaires en fonction du risque supposé de progression de l’alopécie.
Chez la femme, l’alopécie peut apparaître dès les 18 ans. En fonction de l’avancée de l’alopécie, le médecin déterminera la quantité de cheveux nécessaires à la greffe. Les résultats sont si naturels qu’il sera difficile de dire qu’il y a eu greffe.
A lire également : La descente d’organes : comment y remédier ?
Si la perte de cheveux n’est agréable pour personne, il est rassurant de savoir que ce mal touche une large partie de la population, et que de simples greffes peuvent aider à retrouver l’image qu’on se fait de soi.